Dans cet épisode, j’ai eu le plaisir d’accueillir Malene Rydahl, une auteure danoise-française passionnée par l’empathie et le bien-être. Malene partage son parcours fascinant, depuis son rêve d’enfance de vivre à Paris jusqu’à sa carrière dans l’hôtellerie et l’écriture. Elle évoque son premier livre, « Heureux Comme un Danois », inspiré par le World Happiness Report, et son engagement à introduire des cours d’empathie dans les écoles françaises. Nous discutons de l’importance des relations interpersonnelles et de la sécurité psychologique dans les entreprises, ainsi que de sa méthode MR pour améliorer la cohésion des équipes. Malene explique comment l’empathie peut transformer les interactions humaines, même dans des contextes difficiles. Pour en savoir plus sur ses travaux et ses livres, vous pouvez la suivre sur LinkedIn ou visiter son site internet.
Ce post ci-dessous est issu d’un article que j’ai écrit en anglais d’abord, sur le sujet de la joie. Ce qui est drôle — voire troublant — c’est que les mots employés en anglais et en français pour décrire cette émotion divergent. Comment traduire, par exemple, le mot « happy » ? Cet adjectif, selon moi, est un sentiment éphémère, provenant d’une source extérieure. Je trouve le meilleur équivalent en français c’est la joie. En revanche, le mot en anglais « joy » (que je qualifie comme étant un sentiment profond et plus pérenne, provenant plus de l’intérieur) n’a pas la même valeur que la joie. J’ai décidé ainsi de traduire « joy » par le bonheur, qui est aussi un nom, mais pour lequel il n’y a pas une traduction exacte en anglais. Enfin, en français, on peut aussi utiliser l’expression d’ « être heureux. » Différent de la joie (allegria), heureux semble être un peu plus profond. En español, tout est dit par le verbe: ser feliz (dans mon être) ou estar feliz (un état temporaire). Alors pour chaque expression, on peut vite se mêler les pinceaux, car ces mots joie, heureux et bonheur sont souvent utilisés de manière interchangeable. Pour cet article, j’ai préféré donc définir la joie (en français) comme étant un sentiment de félicité éphémère. Et que le bonheur soit un sentiment profond, provenant d’éléments intérieurs et qui peut exister aux côtés de tristesse et difficultés. Pardonnez-moi d’avance si cela vous contrarie !
Le mirage de LA joie : Pourquoi la bière gratuite et le baby-foot ne suffisent pas
Dans le paysage du business actuel, la quête de joie au travail est souvent présentée comme une panacée face au manque d’engagement des employés et aux problèmes de santé mentale croissants. Pourtant, je soutiens que cette focalisation sur la joie pourrait être mal orientée. Malgré la prolifération d’initiatives visant à stimuler l’engagement au travail, la réalité est que de nombreux employés, y compris les cadres supérieurs, sont aux prises avec des niveaux de stress et des problèmes de santé mentale sans précédent. Selon l’étude “État de l’empathie sur le lieu de travail 2024” de Businessolver, un stupéfiant 55 % des PDG ont déclaré avoir connu des problèmes de santé mentale au cours de l’année écoulée. Cette statistique témoigne de l’existence d’environnements de travail toxiques généralisés qui affectent tout le monde, du sommet à la base. L’idée que la joie peut être conçu au travail – comme offrir de la bière gratuite, installer des tables de baby-foot et organiser des événements sociaux “amusants” – passe à côté de l’essentiel. Le véritable bonheur au travail ne consiste pas à rechercher une joie éphémère, mais à trouver un sens et un épanouissement dans son travail.
LE Bonheur vs. La joie : Une distinction cruciale
Pour être clair, il existe pour moi une différence importante entre le bonheur et la joie. Le mot « bonheur » n’existe pas à proprement parler en anglais. Le monde n’est pas entièrement d’accord avec mon interprétation, mais je définis le bonheur comme étant quelque chose qui vient de l’intérieur, né d’un mécanisme interne. En revanche, être joyeux est un état passager qui est généralement généré de l’extérieur. Comme l’a expliqué Frédéric Lenoir dans cet article dans FemininBio,
« Le bonheur est un état d’être, la joie est une émotion. »
Mon amie suedoise, Annika, décrit le bonheur comme la sensation éprouvée en regardant le baptême de sa petite-fille. De manière plus prosaïque, je pourrais comparer la joie à la luxure, tandis que le bonheur est lié à l’amour.
La “Moi-conomie” et la quête de sens
Si nous devons nous concentrer sur le bonheur et l’épanouissement plutôt que sur la simple joie au travail, cela nécessite un changement fondamental dans la façon dont les organisations abordent l’engagement des employés. Nous ne devrions pas nous attendre à ce que le travail soit comme un terrain de jeu pour enfants. Bien qu’il soit approprié de parler des problèmes de santé mentale et de s’en occuper, nous devons réfléchir différemment à la façon de gérer une entreprise (c’est-à-dire sa culture) et à sa raison d’être. À l’ère de la “Moi-conomie”, comme présenté dans le rapport Havas Meaningful Brands 2024 (à lire les résultats 2023 en VF), le bien-être personnel est de plus en plus prioritaire. C’est bien, mais le vrai travail consiste à s’attaquer à la source du problème, à la cause profonde. Et cela nécessitera une main plus habile pour comprendre les motivations profondes des employés ; cela peut également inclure le fait de les aider à mieux se connaître. En fin de compte, la force la plus profonde et la plus puissante est celle des employés qui trouvent un sens à leur travail. Il existe certes une échelle du sens, en ce sens que certaines activités seront plus superficiellement significatives que d’autres. Par exemple, le sens peut venir par petites doses en étant simplement utile à quelqu’un d’autre. Un employé peut trouver du sens en comprenant comment son travail contribue à l’ensemble. Et puis il y a des notions plus larges de sens, comme avoir un impact positif dans sa communauté ou dans le monde, quelle que soit la façon dont ce monde est défini.
Définir un travail significatif et le bon ALIGNEMENT : La clé d’un BONHEUR durable
Pour cultiver un bonheur authentique et durable sur le lieu de travail, les organisations doivent redéfinir leur compréhension de ce qui constitue un travail significatif et aider les employés à se positionner, s’aligner entre leur propre mission personnelle avec celle de l’entreprise. Cela implique d’aligner les tâches et les rôles sur les valeurs et les compétences des employés, favorisant ainsi un sentiment d’épanouissement qui transcende la simple joie. Le rapport d’Havas souligne ce changement vers un engagement axé sur la raison d’être, où les employés recherchent l’appartenance et le sentiment de contribuer à une mission plus large et de s’y connecter. Pour cela, les dirigeants doivent se concentrer sur la mesure dans laquelle leurs employés se sentent alignés professionnellement et personnellement avec les objectifs et la mission de l’entreprise.
Le pouvoir du jeu : Construire la confiance et favoriser la collaboration
Le jeu et la confiance sont des éléments cruciaux pour créer un environnement propice au bonheur. Comme le suggère le psychologue, Dr Jordan Peterson, le jeu fait partie intégrante de la construction de la confiance et de la promotion de la collaboration au sein des équipes. S’engager dans des activités ludiques peut briser les barrières, améliorer la communication et créer une sécurité psychologique – des ingrédients clés pour un lieu de travail joyeux.
Approches innovantes : La joie du Padel et au-delà
Des approches innovantes, comme les séminaires “Joy of Padel”, offrent des opportunités uniques de mêler activité physique, renforcement d’équipe et développement personnel. Ces sessions ne favorisent pas seulement le bien-être et la joie par l’exercice, mais encouragent également la résolution créative de problèmes et renforcent la dynamique d’équipe grâce à des expériences partagées.
L’argument commercial pour LE BONHEUR : Stimuler l’engagement et l’innovation
En fin de compte, les entreprises doivent reconnaître que ce que je caractérise comme le bonheur n’est pas un luxe mais une nécessité pour stimuler l’engagement et l’innovation. En se concentrant sur la réalisation significative et les initiatives axées sur la raison d’être, les organisations peuvent créer des environnements où les employés s’épanouissent malgré ou à travers les défis. C’est ce type de bonheur et d’engagement qui aide à construire la résilience pour surmonter les problèmes. Ce faisant, les entreprises seront mieux positionnées pour attirer et retenir les meilleurs talents dans un marché de plus en plus compétitif. Alors que nous naviguons dans ce paysage complexe, il est évident que favoriser un véritable bonheur sur le lieu de travail nécessite plus que des solutions superficielles. Cela exige un engagement à comprendre les besoins plus profonds des employés et à créer des conditions où ils peuvent trouver un véritable épanouissement dans leur travail.
Comme les lecteurs réguliers de ce blog le savent, si je ne parle pas de leadership et de branding, il y a de fortes chances que je parle de mon amour du padel. Je joue au padel trois à quatre fois par semaine et j’ai lancé un podcast en 2023 (en anglais: The Joy of Padel). Je suis un toxicomane reconnu du padel. J’ai écrit précédemment sur les 5 raisons pour lesquelles vous tomberez amoureux du padel. Voici maintenant une liste de dix raisons moins évidentes pour lesquelles le padel est un sport si formidable.
1/ Facile à jouer. Pour les personnes de tous âges et de tous niveaux, il est si facile de commencer et de se sentir satisfait de ses réalisations. Pourtant, il convient de noter qu’il est difficile – voire vraiment difficile – de devenir bon. Et en cela, c’est aussi amusant parce qu’on peut vraiment grandir.
2/ Dimensions plus petites. Plus de 80 % du jeu se déroule dans un espace d’environ 49 m2 (7×7) allant jusqu’à 63 m2, bien que les dimensions du terrain de padel soient de 20m x 10 m. Cela signifie qu’il est plus facile pour les joueurs plus âgés ou moins mobiles de se déplacer par rapport au tennis là où peut-être 80 % du jeu se déroule dans un espace de 72 m2 (9×8) à 80 m2 (c’est-à-dire >50 % plus grand). Et encore, cela peut aller jusqu’à 90m2 comme lors du match Federer-Murray (voir ci-dessous). Cette différence de taille rend le terrain du padel moins intimidant ; et la hauteur du filet est plus adaptée aux enfants que celle du tennis.
3/ Au padel, la puissance peut être contrée (jusqu’à un certain point) par la ruse et l’anticipation. En d’autres termes, la puissance ne fait pas tout ! Cela peut permettre à certains joueurs plus âgés et plus lents de rivaliser efficacement avec des joueurs plus jeunes et plus puissants.
4/ La joie. On a tendance à jouer au padel avec le sourire. Et 99 % du temps, vous terminez avec un sourire de la taille d’une banane. C’est pour dire que c’est juste amusant à jouer. C’est faire de l’exercice sans penser que vous travaillez. Contrairement au tennis où on peut entendre l’effort si on se fie aux grognements et gémissements des joueurs sur le terrain. Pour les anglophones, vous pourrez poursuivre le joie hors du terrain en écoutant mon podcast The Joy of Padel.
5/ Entouré de murs. Grâce aux murs, il est facile de garder les balles à portée de main après la fin du point. Il n’est pas nécessaire de se promener sur le terrain pour ramasser les balles, car les murs empêchent les balles de voyager loin. En conséquence, pendant environ 80 % du temps que vous êtes sur le terrain, vous jouez des points. Certes, lorsque vous jouez avec de bons joueurs, ils peuvent faire rebondir le ballon hors du terrain (comment on dit en espagnol : “por tres” ou “por quatro”). Mais, quand on joue avec de bons joueurs, les points durent souvent plus longtemps (…jusqu’à une minute !), c’est donc généralement un répit bienvenu pour aller chercher le ballon.
6/ Petite raquette. La batte (alias raquette), qui mesure environ 46 cm x 10 cm x 4 cm, tient dans votre valise à main, elle est donc très pratique pour voyager ! « Ayez padel et voyagez » j’aime dire.
7/ Lien social. Sur le terrain, vous vous connectez avec tous les joueurs. Le terrain étant petit, il est très facile de se parler pendant le match. D’ailleurs, il est même conseillé — si vous voulez devenir bon — de discuter PENDANT le point avec votre partenaire, non pas des projets sociaux de la soirée, mais par exemple de l’endroit où se trouvent les adversaires ! Il n’est pas rare que les quatre joueurs discutent et célèbrent des points exceptionnels, quel que soit l’équipe qui a remporté le point.
8/ Les gauchers sont prisés. Contrairement à la réputation « sinistre » des gauchers, le padel est TRÈS accueillant envers les joueurs gauchers. Le joueur gaucher joue toujours à droite (et le partenaire droitier à gauche). Étant donné qu’environ 3 tirs sur 4 sont visés dans les entrailles (au milieu) du terrain, cela signifie que c’est sur les coups droits des deux joueurs. Bien sûr, il arrive parfois que deux gauchers doivent jouer l’un contre l’autre, mais ce n’est pas fréquent. Les bons joueurs gauchers sont une denrée rare. De temps en temps, je vois des gauchers (généralement débutants) jouer à gauche avec la raison : je ne retourne pas bien le service avec le revers. Mais c’est une raison plutôt idiote. Si le retour est évidemment un tir important, il ne concerne qu’un point sur 4 dans un match (en supposant que chaque service soit contre le mur). Les joueurs astucieux comprendront cela et serviront sur le revers dans tous les cas (c’est-à-dire au milieu). Et pour 100% de tous les points, y compris après le retour du gaucher en jouant à gauche, cette équipe sera désavantagée avec les deux joueurs face au revers au milieu. P.S. J’ai constaté qu’en août 2023, dans le top 100 des joueurs du circuit, il y avait 17 gauchers et 9 pros gauchères (source)…. ce qui signifierait que du côté des hommes uniquement, il y a un avantage supérieur à la moyenne, basé sur une population de 8 à 12 % de gauchers en moyenne. Au jour d’aujourd’hui le numéro un et des hommes (Artur Coello) et des femmes (Paula Josémaria) sont gauchers. Voici une liste des gauchers (« zurdos ») pros qui ont un compte sur X/Twitter.
9/ Plasticité du cerveau. Pour la plupart des joueurs venant d’autres sports, le Padel nécessite un recâblage. Si vous êtes curieux et/ou aimez les défis, le padel est un casse-tête, surtout pour ceux qui viennent des sports tels que le tennis ou le squash. Le padel semble facile au départ (voir point 1), mais il est en réalité très différent dans les détails du tennis, du squash, du badminton ou du jeu de paume, etc. Ainsi, les joueurs de tennis aguerris qui, certes, ont une grande coordination œil-main et un avantage au filet, devront désapprendre certaines de leurs habitudes, comme la demi-volée – ou pire, la volée – depuis le fond du court, de tenter le coup gagnant sur chaque balle, ou le gros smash sur chaque lob… Même pour les joueurs de squash, les corners et les murs se jouent différemment.
10/ Vacances. Le jeu est un délice lorsqu’il est joué dans des climats plus chauds, c’est donc une destination de vacances naturelle. Des pays comme l’Espagne, l’Italie et le Portugal disposent d’un nombre important de clubs et de terrains de padel. Le Moyen-Orient (Dubaï, Koweït, Qatar…) connaît une présence grandissante dans le padel. Et en hiver, vous pouvez toujours partir dans l’hémisphère sud : Argentine, Brésil, Uruguay, Chili. À défaut, vous disposez de nombreux courts couverts dans les pays scandinaves invitants.
Si vous avez d’autres raisons non évidentes d’aimer le padel, partagez-les !
Expert en gestion de crise et négociations complexes depuis 1998, Laurent Combalbert est également conférencier, entrepreneur, auteur et philanthrope. Aujourd’hui, il consacre son temps à inspirer des talents et à transmettre son savoir au travers de ses conférences et de sa plateforme de Masterclass. Dans cette conversation, nous discutons des clés de succès dans la négociation, les moyens qu’utilise Laurent pour négocier — ou bien converser — avec un preneur d’otage. Il décortique la préparation et comment il mène une conversation pour comprendre la situation et de saisir la motivation de l’homme en face. En matière d’enseignement, il y a des perles qu’on pourrait tous utiliser dans notre quotidien — en tout cas dans les conversations difficiles ou controversées. Un échange vif et concret.
Isabelle Lord est une spécialiste réputée de la communication en leadership. Elle est présidente de Lord Communication managériale, qui a formé ou coaché plus de 100,000 gestionnaires en Amérique et en Europe. Elle est une experte chez l’APM, l’Association Progrès du Management, un réseau francophone de chefs d’entreprise, une dite école de questionnement des dirigeants du monde entier. Elle est également auteure de plusieurs livres (en français et en anglais) dont « L’art de la question, maîtrisez l’outil no. 1 des leaders dans la nouvelle culture de collaboration. » Et je suis ravi d’annoncer qu’Isabelle vient de gagner le prix du Livre de l’année au Gala Reconnaissance RH 2023 pour ce livre. Dans cette conversation, nous explorons combien l’art de poser la bonne question change tout. Isabelle nous explique combien la question influe le sens et la puissance de la conversation, quelle posture prendre et quel état d’esprit avoir pour diriger en posant les bonnes questions, et comment entretenir des conversations difficiles au travail.
Denis Charvet, le joueur de rugby d’exception sélectionné 23 fois pour l’équipe de France, a joué pour son pays au final de la Coupe du Monde en 1987 et a été capitaine des Barbarians français. Après sa carrière sur le terrain, il devient consultant et commentateur régulier à la télévision (France2) et la radio (notamment RMC). Il a aussi poursuivi une carrière d’acteur au cinéma ayant eu, entre autres, un rôle dans « La Belle Histoire » de Claude Lelouche. Maintenant, il est producteur de film. Enfin, il a écrit trois livres, dont « La Mort Debout » (2008), « La Dernière Passe » (2015) et « Balle de Match » (2019). On y discute des valeurs du rugby, sa carrière, le leadership sur le terrain et dans l’entreprise, son experience sur le grand écran, l’évolution des médias et comment gérer une réputation en ligne en tant que figure publique.
Apprendre le digital et les outils digitaux pour le faire
Le digital est à la fois l’objet à apprendre et le moyen de le faire. Un des dispositifs clés pour aller de l’avant est de réinitialiser une habitude d’apprendre en continu. Ceci demande de revoir ses habitudes et sources de lecture afin d’avoir un mélange plus adapté à ses besoins. Avec les nouveaux outils digitaux, les manières et options de consommer l’information permettent d’apprendre plus que jamais à notre gré. Je conseille fortement d’explorer les podcasts (show radio téléchargeable) qui existent sur tous types de sujets, permettant par exemple d’écouter lors des transports en commun pour se rendre au travail ou bien pendant un jogging. Il y a de plus en plus de podcasts sur des sujets variés. Je préconise pour démarrer:
Faites-moi plaisir et déposer vos podcasts préférés ci-dessous dans les commentaires !
Choisir de nouvelles sources
Sinon, il existe des centres de formation en ligne informels et formels, aussi bien gratuit que payant, tel que TED, MOOC francophone, FUN, COURSERA, UDEMY ou KHAN ACADEMY. Enfin, en termes de lecture en ligne, je préconise l’usage d’applications telles que FLIPBOARD ou FEEDLY qui permettent d’agréger des sources différentes autour de sujets choisis. Sur ces deux outils, il s’agit de sélectionner les sujets et des sources pour personnaliser votre lecture.
Apprendre de nouvelles habitudes
L’important est d’instaurer un nouveau régime et de nouvelles habitudes à apprendre tous les jours ce qui se passe dans le digital, veiller sur la concurrence et pour mieux vous munir pour l’avenir.
Apprendre en continu
Être acteur du digital se cultive quotidiennement. Beaucoup de personnes sont submergés par le nombre de communications à suivre, sur les applications, plateformes et équipements divers à notre disposition. Ne pas suivre ses communications pourrait avoir des conséquences néfastes pour le business, pour ne pas oublier la famille – et pour sa propre santé. Pour arriver à les maîtriser, il est question d’expérimenter constamment, de tester les applications, quitte à se faire cobaye parfois. C’est le dispositif d’un apprenant en continu. On y trébuchera certainement. Ce n’est pas pour rien que l’échec rime avec high-tech. Mais on y gagnera à la longue.
Il est facile de devenir victime du digital – l’avalanche des nouvelles technologies, applications et dispositifs numériques peuvent nous dépasser rapidement. Il est ainsi essentiel de devenir acteur et être digital pour mieux les apprivoiser et trouver son bonheur.
Être acteur du digital se cultive quotidiennement. Beaucoup de personnes sont submergées par le nombre de communications à suivre, sur les applications, plateformes et équipements divers à notre disposition. Ne pas suivre ses communications pourrait avoir des conséquences néfastes pour le business, pour ne pas oublier la famille – et pour sa propre santé. Pour arriver à les maîtriser, il est question d’expérimenter constamment, de tester les applications, quitte à se faire cobaye parfois. C’est le dispositif d’un apprenant en continu. On y trébuchera certainement. Ce n’est pas pour rien que l’échec rime avec high-tech. Mais on y gagnera à la longue.
Le premier tour des élections présidentielles françaises a été historique, selon certains, puisque les deux candidats gagnants, Emmanuel Macron et Marine Le Pen, ne viennent pas des deux grandes partis classiques (Socialiste – Républicain). À d’autres égards, cependant, il me semble que cette campagne était semblable à bien d’autres campagnes électorales françaises, dont l’embrouille et le résultat. Et, je me demande si cela ne se terminera pas avec cinq autres années semblables aux cinq dernières. On verra ! Cependant, avec mon oeil marketing, j’ai essayé de comprendre comment les messages marketing auraient aidé ou entravé ces 11 candidats au premier tour.
Élections présidentielles françaises – une question de personnalité
Surtout, il faut convenir que les élections françaises – avec onze candidats présentés au premier tour – représente une bataille de personnalités individuelles, beaucoup plus qu’entre les partis politiques ou même leurs programmes. Dans un environnement strictement contrôlé (par le fameux CSA), où tous les 11 candidats sont supposés avoir exactement la même couverture médiatique, il est inévitable que les électeurs sont confus sur ce qui dit quoi. Alors, je voulais jeter un coup d’oeil au travail de marketing réalisé à travers les affiches (posters) des candidats qui ont été constamment exposés ensemble par lots de 11. Continuer la lecture →
Bon nombre d’entreprises ont sur leur plan stratégique la transformation digitale. Selon une étude de Monster France, 94% des dirigeants d’entreprise considèrent que la transformation numérique est un objectif stratégique. C’est une évidence qu’à partir du moment que le sujet est sur l’agenda du Comex, l’entreprise se sent en retard par rapport aux changements. Le plus grand problème pour les exécutifs est qu’il ne s’agit pas simplement de l’installation d’un nouveau système d’information. Avant tout, il s’agit d’un changement d’état d’esprit*. Dans un article que j’ai écrit pour CMO.com, j’ai parlé de « la montagne digitale » ; et l’ensemble est bien difficile à saisir.
Pourtant, chaque entreprise est obligé de comprendre les implications et opportunités qui y résident sinon les entrepreneurs vont y penser (et agir) à leur place. Il y a 3 principes qui sont profondément perturbés par l’existence de cette montagne digitale: Continuer la lecture →