Social Commerce, A Vos Marques, Foncez! avec auteur Olivier Laborde (MDF139)

Minter Dialogue avec Olivier Laborde

Olivier Laborde est un fervent du Web3. Il est conseiller, speaker, influenceur, et compère. Il occupe le poste de Chief Marketing, Digital et Innovation Officer dans un grand groupe et il est écrivain et chroniqueur pour Forbes.fr et HBRFrance.fr. S’agissant de son dernier ouvrage, « Social Commerce : Réseaux sociaux, gaming et metaverse : à vos marques, foncez !« , nous discutons des tendances dans la tech, les dernières évolutions dans le social commerce, comment les entreprises devraient s’y prendre, les implications du métavers et la place des jeux vidéos.

Merci de m’envoyer vos questions par email — en tant que fichier audio si vous le souhaitez — à nminterdial@gmail.com. Sinon, en dessous, vous trouverez tous les liens pour un suivi du podcast. Vous êtes bien entendu invité à déposer un message ou à le partager. Si vous pouvez, merci d’aller déposer une revue sur Apple Podcasts pour le noter.

Pour joindre Olivier Laborde

Continuer la lecture

La Vision d’un Leader Emblématique avec Laurent Vimont, Président Century21 France (MDF110)

Minter Dialogue avec Laurent Vimont

Laurent Vimont, Président de Century21 France, le numéro 1 des agences immobilières dans le monde. Dans cet entretien, nous parlons de comment garder le cap à travers une crise, c’est quoi un bon leader, ses inspirations et mentors, pourquoi et comment gérer une présence en ligne en tant que grand patron, la place des émotions au travail, et comment garder les pieds sur terre. Une conversation riche en enseignements avec un patron qui se livre avec énergie et franchise.

Pour faire de grandes choses, il ne faut pas être un si grand génie; il ne faut pas être au-dessus des hommes; il faut être avec eux.
-Charles de Secondat, baron de Montesquieu.

« On s’adapte, on improvise et on domine. »
-Devise des marines américains

Merci de m’envoyer vos questions par email — en tant que fichier audio si vous le souhaitez — à nminterdial@gmail.com. Sinon, en dessous, vous trouverez tous les liens pour un suivi du podcast. Vous êtes bien entendu invité à déposer un message ou à le partager. Si vous pouvez, merci d’aller déposer une revue sur iTunes pour le noter.

Pour joindre Laurent Vimont

Continuer la lecture

Qui Va Gagner Les Elections Presidentielles 2017 en France? Un Regard Social

Alors que être « social » en français a généralement une connotation politique, voire philosophique, il y a un tout autre regard qui est à travers l’empreinte des médias sociaux. A 6 jours des élections, ça chauffe en France. Dans les derniers sondages (via linternaute), il y a bien 4 parmi les onze candidats qui ont une chance de passer au deuxième tour. Pour ces quatre — Le Pen 23%, Macron 22%, Fillon 20% et Mélenchon 17% — les intentions de vote représentent 82% des votes. Tous les autres candidats n’ont qu’un seul chiffre de pourcentage (au mieux).Selon le centre d’étude et la taille de l’échantillon, la marge d’erreur varie considérablement (entre +/-0.8% à +/-3.3%).Ainsi, il y a plein de possibilités. Selon les experts, tout se jouera avec les niveaux des abstentions et comment vont voter les indécis (qui pèsent autour de 20% selon l’étude). En revanche, pour le site de paris, Ladbrokes, basé en GB, il semble peu de doute que la finale sera Emmanuel Macron v Marine Le Pen.

Le vent qui change?

Qu’est-ce qui bougera les lignes d’ici là ? Je vois trois éléments importants à guetter :

  1. Les médias (TV, radio, sociaux…).
  2. Le « Dark Social » — tout ce qui se dit sans être visible. En d’autres termes, c’est la manière que l’électorat se parle et se convainque dans ses conversations au tabac, autour de la table de repas et, surtout, sur les médias sociaux.
  3. Un acte terroriste sur le sol (où proche) de la France.

Continuer la lecture

Quelles recommandations pour communiquer sur les reseaux sociaux aux EU avec des ressources limitées ?

Pour des entreprises, par exemple basées en France, qui souhaiteraient aborder le marché Etats-Unis et Canada, il va de soit qu’une stratégie digitale sera nécessaire.

Quand bien même le marché nord-américain est grand et l’Internet permet d’être présent partout, offrant plein d’opportunités, les concurrents risquent d’être déjà présents. Ainsi, l’utilisation des réseaux sociaux représente un moyen puissant mais qui devient de plus en plus encombré et cher à investir.

To win, the chances are that you now have to pay to play

reseaux sociaux - the myndset strategie digitale

Un grand choix de reseaux sociaux aux Etats-Unis

Les reseaux sociaux – une strategie payante

Dans le contexte actuel, avec la présence forte des marques et des modèles économiques des plateformes de réseaux sociaux qui recherchent constamment le chiffre d’affaire, il devient indispensable de combiner une approche organique (i.e. gratuit) avec une approche payante. L’investissement sera en trois zones:

  1. le temps (et la nécessité d’avoir quelqu’un adapté pour le marché)
  2. les outils de « marketing automation » pour faciliter la gestion et mesurer les opérations
  3. la publicité ou autres moyens payants de faire sortir du lot ses activités

Trois recommandations

Pour une entreprise qui veut aborder ce grand marché sur les réseaux sociaux, j’ai trois recommandations :

  1. Commencer avec un objectif clair et précis pour bien dimensionner l’activité. Non seuelement, les réseaux sociaux ne sont pas bons à tout faire, l.
  2. Investir du temps en amont pour investiguer où vos cibles se réunissent sur les réseaux. Il s’agit de comprendre au mieux le ton de la conversation, leurs exigences et les concurrents.
  3. Expérimenter et mesurer vos activités en analysant ce qui marche en fonction de vos objectifs et de la cible.

Enfin, je déconseille d’approcher l’Amérique du Nord à petit bras. Mieux vaut vous lancer en vous donnant les moyens sur la durée, sinon la déception est au rendez-vous.

T’as fait quelle école? Le CV des cadres et les critères de sélection

Leadership et l’éducation

Identifier un dirigeant n’est pas tâche facile. Établir les critères de sélection des cadres, et futurs dirigeant est une tâche délicate pour tout département des relations humaines. Chaque culture, chaque pays et même chaque entreprise montre ses préférences de recrutement, et développe des liens avec certaines écoles et/ou universités.

L’école comme critère DE SELECTION à 50 ans

Partout dans le monde, les meilleures écoles sont perçues comme des valeurs sûres d’identification des meilleurs candidats et candidates. Ces établissements agissent comme les réseaux sociaux et les élèves sont, espérons-le, amis pour la vie. Cependant, il arrive un moment dans une carrière où l’évolution doit tout simplement être fondée sur des actions et des résultats. En France, en revanche, il est une habitude persistante d’annoncer les changements de direction et promotions avec la formule suivante (voir l’extrait du magazine Challenges ci-dessous):

Personne, âge, diplôme d’une certaine grande école, a été nommé à un nouveau poste …

Le CV commence avec les études et continue avec les études…

Dans la dernière édition de Challenges le magazine hebdomadaire d’affaires en France, il y a une colonne réservée aux récents changements de direction de plusieurs grandes entreprises françaises.

Nominations Challenges les critères de sélection France, The Myndset Marketing Digital

On pourrait croire que les accomplissements seraient mentionnés. Mais il n’en est rien. Par ailleurs, pourquoi faut-il citer l’âge? Le diplôme est il toujours d’actualité? J’aimerais comprendre pourquoi il faut continuer d’insister autant sur l’école, ou plutôt la grande école, car si seules les prestigieuses sont mentionnées. Voici ce qui serait écrit aux Etats-Unis si les journalistes avaient le même point de vue:

Nominations Challenges references les critères de sélection France, Challenges Etats Unis References, The Myndset Marketing Digital

Le rôle durable de l’école dans le CV du dirigeant

En France, il y a une fascination perpétuelle avec l’école fréquentée comme si cette école définissait à vie. Certes, les écoles sont la fondation professionnelle. Elles restent la pierre angulaire des réseaux sociaux (le plus célèbre des réseaux sociaux a commencé sur un campus universitaire). Cela dit, nous ne sommes pas fait seulement par le nom de l’école. L’autre élément qui se distingue est l’importance de l âge. Sur les neuf dirigeants cités dans Challenges, un seul a plus de 52 ans. Le reste se situe entre 41 et 52 ans. Quand verrons nous des plus jeunes, et des non-diplômés (« self made man » ou bien « woman ») ?

[Dans l’échantillon américain ci-dessus, je note qu’il n’y a pas de femme. C’est malheureux, mais j’ai aussi eu du mal à trouver des femmes sans diplôme en haut de la hiérarchie aux Etats Unis, (il y a plus à dire sur ce sujet, n’est ce pas ?)]

N’est-il pas temps de modifier certaines habitudes en matières de critères de sélection en France ? {Cliquez ici si vous êtes d’accord, pour le tweeter !} Vos réactions?

Emmanuel de Saint-Bon (@saintbon), Roxane conseil et strategie sur les reseaux sociaux (MDF80)

Minter Dialogue #80

Cet entretien est avec Emmanuel de Saint-Bon, fondateur et PDG de Roxane Company, une agence de stratégie et de conseil sur les réseaux sociaux et spécialisée dans le marketing d’influence. Emmanuel nous explique son point de vue sur les grands enjeux pour le business et les managers d’aujourd’hui. On y parle de Red Bull, du storytelling, la création de contenu et la recherche réelle du retour sur investissement.

Continuer la lecture

Les Medias Sociaux Globaux ou Locaux? Media Aces le 25/10/12

Médias sociaux : la marque locale, globale ou glocale?

La prochaine conférence des Media Aces [avec les interventions en français] aura lieu le 25 octobre prochain dans les locaux d’Ubifrance.  L’intégration de cette conférence Media Aces est dans le cadre de la 5e édition des Rencontres Internationales du Numérique.  Ainsi, à cette occasion, nous avons décidé d’élargir le débat sur les médias sociaux en entreprise sur la présence de la marque à l’international.

Les intervenants et sujets seront:

  • Dansez avec le dragon ! Médias sociaux en Chine  – Par Alban Fournier, Consultant Marketing & Stratégie, VALUE2020
  • Sortez de la bulle ! les médias sociaux Made in USA et Brésil  – Par Mohamed Khodja, Ubifrance
  • De l’hyperLocal au Global  – Par Arnaud Bourge, responsable Medias Sociaux Servicing, direction du Digital Air France et Marina Tymen, manager Relations presse, Community management & E-reputation, Air France
  • De l’hyperLocal au National – Par Cynthia Kary et Hervé Pillaud, FDSEA 85
  • Orchestrer la rumeur à l’international? – Par Laurent Gaildraud, auteur de « Orchestrer la rumeur »

Inscriptions ici:

  • http://bit.ly/mmaces2510
  • L’entrée est à 30€ sans le livre / 50€ avec le livre « Orchestrer la rumeur » de Laurent Gaildraud

Les details (heure et Lieu):

  • Le 25 octobre 2012 de 14h à 17h
  • Chez Ubifrance, 77 Bd Saint-Jacques, 75014 Paris
  • Métro/RER Saint-Jacques ou Denfert-Rochereau
Venez vous inscrire!!

Quelle est la valeur d’un fan Facebook ?

Suite à l’infographie sur la Valeur d’un Fan Facebook, j’ai réalisé cet entretien que je voulais partager sur le blog.  Il est tourné autour de 4 questions.

Quels sont les principaux leviers d’acquisitions sur les réseaux sociaux ?

Infographie FB-vignette-FR, Minter Dialogue Myndset Marketing DigitalSelon moi, il y a deux réponses possibles à la question d’acquisition de fans : avec investissement financier ou sans ; sachant que cette deuxième piste demande autant, voire plus d’investissement en termes de temps (capital humain). Dans le premier cas, avec les évolutions et développements de Facebook, les liens sponsorisés vont certainement avoir une bonne efficacité—plus particulièrement, pour les grandes marques qui peuvent se le permettre.  Dans le deuxième cas, il s’agit d’abord de poster avec un rythme et ligne éditoriale qui stimulent son audience, en phase avec les valeurs de la marque et les attentes de la communauté. Deuxièmement, il est approprié de chercher un mix média, où les investissements offline soient travaillés en harmonie avec les activités en ligne. Je penserais aussi à la recherche de partenaires synergiques pour optimiser les investissements, tout en rendant plus riche l’interaction. Par exemple, pour les coiffeurs, ils pourraient s’associer avec leurs fournisseurs.  Je note le cas d’un salon de coiffure qui a su gérer son compte Facebook de fans en s’associant avec le restaurant sushi voisin, la clientèle déjeunant au salon de 11 à 15h.  Ce salon a bénéficié d’une augmentation de son CA après une formation aux réseaux sociaux.

L’acquisition est-elle plus simple sur un réseaux type Facebook que sur Twitter par exemple ?

Le point en commun reste la facilité avec laquelle un abonné peut se désabonner soit d’un Thumbs up Twitter, The Myndset Marketing Digital et Medias Sociauxpage Facebook, soit du flux Twitter. Avec cette notion en tête, la recherche purement quantitative d’abonnés n’a pas autant de sens, surtout, une fois qu’un seuil minimal est éteint. La viralité et les fonctions de partage paraissent plus fortes sur Facebook que Twitter. En plus, on ne peut pas faire abstraction du fait que la population soit 5x plus grande sur Facebook en France, même si Twitter se rattrape (désormais à 5.5 million d’abonnés en France). Mais tout dépend de l’objectif. Il faut définir l’objectif, connaître sa cible et respecter les codes d’usage pour augmenter le nombre de suiveurs. Le coté « message court » et l’esprit d’actualité de Twitter sont parfaitement adapté à une certaine cible. Sur Twitter, il existe une habitude plus élevée de suivre des inconnus, en fonction de la qualité du flux. Sur Facebook, le gain de nouveaux fans vient par l’association des amis ou par acquisition. Au final, pour la plupart, Facebook reste le meilleur choix, même si le coût d’acquisition risque de coûter plus cher que sur Twitter (pour l’instant en tout cas).

Quels sont les critères qui définissent la valeur d’un fan ?

D’un point de vue simplement statistique, il est évident qu’un fan qui a beaucoup d’amis et qui interagit régulièrement avec vos posts a plus de valeur que quelqu’un qui est passif et muet. En revanche, la qualité influente du fan — qu’on peut tenter de mesurer, de façon non scientifique, à travers des services comme Klout ou Peer Index — va donner plus de résonance à ces interactions.  Plus les interactions d’un fan incitent ses amis à investiguer, à cliquer, à re-partager ou tout simplement à « aimer », plus c’est un fan de valeur.  En règle générale, je préférais avoir 500 fans qui interagissent activement que 5,000 fans passifs.

Est-ce que l’internaute a un véritable pouvoir sur la réputation d’une marque sur les réseaux sociaux et pourquoi ?

Tous fans ne sont pas égaux.  Ainsi, la puissance d’un commentaire d’un internaute dépend de trois choses : la qualité de son réseaux, la possibilité d’être repris par le mass média et la chance (le timing, la serendipité…).  Par le passé, l’internaute avait moins de concurrence pour se faire remarqué et de percer à travers le bruit en ligne.  Aujourd’hui, c’est beaucoup moins le cas, avec un recentrage sur des services et réseaux phares. Il y a une convergence autour des « grandes références » tel que Google, Facebook, Youtube, etc.

money hand cash dollars, The Myndset Marketing Digital et Strategie MarqueL’éthique : Pour des sujets qui touchent à l’éthique ou à des points sensibles pour la société – au-delà d’une plainte chez un voyageur (!) – il y a plus de chances que les réseaux sociaux se mobilisent.  Ceci est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit d’un sujet proche des femmes, grâce à la surreprésentation des celles-ci sur les réseaux sociaux et de leur tendance à partager plus librement que les hommes. Exemple : le revirement sur la décision de Komen sur Planned Parenthood (en anglais via PolicyMic.com).  Un autre sujet sensible : l’argent, le système bancaire et financier.  Ainsi, les actions des banques — ou de la politique — peuvent provoquer des réactions qui génèrent un buzz conséquent.  Exemple : lorsque Bank of America a voulu augmenter les frais (voir The Financial Brand – en anglais), les clients ont révolté.  Cependant, il y a bien d’autres exemples, dans d’autres domaines où le mouvement sur les réseaux a eu un impact réel (ex : les cas célèbres de Kryptonite, United broke my guitar…).  Non obstant, pour chaque cas avec un grand impact, il y a des milliers qui sont restés dans l’ombre.

Dois-j’y aller?

Ne pas prêter attention aux plaintes sur les réseaux serait un risque professionnel ces jours-ci.  Ne pas répondre à une plainte, devient ensuite, un choix à mesurer en fonction des probabilités.  Entre une vidéo qui dépasse les millions de vues et un tweet retweeté 1 fois, il y a un énorme spectre.  La volonté d’une marque de répondre à ses clients devient instantanément visible.  Là se joue la réputation. Dans le temps, je maintiens que l’investissement dans un service à la clientèle à l’écoute avec un équilibre entre le proactif et le réactif, dit « 2.0 », sera payant.  Le tout doit être fait avec un regard sur la culture et structure de l’organisation.

Qu’en pensez-vous ?  Vos réactions sont les bienvenues !

 

Pourquoi les marques doivent investir les réseaux sociaux ?

Les marques se mettent aux réseaux / médias sociaux à des vitesses différentes selon le Social Network - Myndset Digital Marketing Strategiebusiness, la géographie et la culture.  Pourquoi devraient-elles y aller?  Elles ont, selon moi, 7 raisons :

  1. Renforcer l’image, la connaissance et la reconnaissance de la marque ;
  2. Bâtir une eRéputation, cela inclut de monter en puissance dans les moteurs de recherche ;
  3. Créer des communautés notamment dans le B-to-B (concessionnaires d’automobile, par exemple) ;
  4. Elargir ses actions de relations publiques ;
  5. Renforcer son écoute et ses services à la clientèle (spécialement dans le B-to-C, i.e. les marques de grande consommation) ;
  6. Disposer d’un canal de vente directe privilégié (e.g. DellOutlet);
  7. Capitaliser sur la créativité et la participation des intemautes (crowdsourcing) pour la recherche et développement {par exemple, pour des idées de nouveaux produits ou l’amélioration de produits existants).

Charge à la marque de comprendre les axes qu’elle veut ou doit privilégier.  Est-ce que vous avez d’autres objectifs en tête pour la marque ?

9 et demie raisons pour ne pas aller sur les réseaux sociaux

Tout le monde en parle! Alors pourquoi ne pas plonger dans le marketing digital ?  Autant il y a tout ce battage autour des entreprises qui se ruent d’entrer dans les médias sociaux, autant une grande majorité des entreprises ne l’ont pas toujours fait l’étape – et c’est parfaitement normal si l’on considère que la majorité des entreprises [si on pensent aux toutes petites] n’ont pas encore un site internet.

Ont les entreprises raison de ne pas entrer dans les médias sociaux? Dans la mesure où le manque d’une présence des médias sociaux est encore un choix déterminé, il y a en effet beaucoup de bonnes raisons de ne pas entrer officiellement dans les médias sociaux. Certaines des raisons sont une question de timing, certaines sont d’ordre philosophique et d’autres encore sont en fonction du secteur d’activité et des objectifs.

9 1 / 2 RAISONS POUR ÉVITER LES MÉDIAS SOCIAUX

  1. Votre produit est illégal ou éthiquement discutable.
  2. Vos clients ne sont pas présents ou actifs.
  3. Votre produit est hyper niche.
  4. Votre entreprise est trop axée sur les produits – et n’est pas suffisamment centrée sur le client.
  5. Votre service à la clientèle est terrible.
  6. La culture interne de l’entreprise est rigide, trop peureuse, anti-prise de risque.
  7. Votre entreprise n’a pas de site internet.
  8. Si votre objectif singulier est de générer des fans, followers ou qui cliquent sur le bouton « j’aime ».
  9. Si votre horizon est d’une courte durée …

LE DERNIER 1 / 2

Votre produit (ou service) n’est pas au niveau.

A l’occasion de la conférence des Assises des Medias Sociaux à l’Innovation Napoleon (Hotel Napoleon), organisée par Marc Kawam et Damien Douani, j’ai livre ce même discours. Voici la vidéo.