TGIM – Mots cles de la Generation Y {Guest post par Yendi Dial}

T.G.I.M.*

TGIM- Thank God it's Monday, The Myndset Marketing Digital and Brand StrategyQuoi? Un nouvel acronyme?  TGIM a été présenté par Alexander Malsch, 27 ans, et fondateur de Melty (« Y pour Young ») au Hub Forum 2012.  Il nous y a expliqué ce que veut dire TGIM : Thank God It’s Monday : Dieu merci, c’est lundi! (au lieu de TGIF Thank God It’s Friday). Un lundi au travail, et on aime ça ! Le plaisir, le fun sont des notions pivots des valeurs de la Génération Y. De tout temps, les jeunes ont aimé le plaisir, normal, non ? Dans ce cas, il s’agit du plaisir au travail. Ce n’est pas la première fois que le plaisir se vit dans le quotidien du travail puisque le travail est aussi le lieu de la socialisation. Travailler, c’est apprendre. Au delà de l’expertise professionnelle, c’est apprendre à travailler avec les autres, les connaître, les comprendre et donc se comprendre soi-même Depuis le début de ma vie professionnelle, ma philosophie a été de me lever le matin heureuse d’aller travailler. Ce n’est pas une punition. Mon objectif n’était pas le weekend ou les vacances. Bien sûr, il y a des aspects plus ou moins drôles comme dans tout, mais globalement, c’est le fun. D’ailleurs à bien y réfléchir les dimanches moroses, grisâtres à la maison étaient suivis par le lundi retour aux collègues, aux objectifs de la semaine, à l’action, etc.… Le travail est un moyen de grandir, de se développer, une route vers une satisfaction, pour ne pas employer un mot plus ambitieux: le bonheur. Finalement, l’objectif de toute vie est le bonheur et il se trouve aussi dans le travail, souvent plus facilement que dans la vie personnelle.  (A Tweeter!)

*L’auteur de ce billet, Yendi Dial, travaille au Myndset Company.

HUB Forum 2012: Flexibilité au Travail {Guest Post par Yendi Dial}

Guest post par Yendi Dial

Manager la Génération Y

J’ai eu la chance d’assister au deuxième jour du Hub Forum, édition 2012.  En particulier, j’ai assisté au panel de discussion autour du thème « Manager la Génération Y ».  Dans le panel, il y avait Françoise Gri de Manpower, Yves Grandmontagne de Microsoft, Alexandre Malsch (fondateur) de Melty, ainsi que David Abiker, modérateur et journaliste chez Europe 1 et Canal +. Je ne vais pas revenir sur le sondage IPSOS fort intéressant en lui-même, mais je voulais ajouter quelques points à la discussion sur l’analyse de la Génération Y et de son rapport au travail. J’ai voulu faire un retour en série sur certaines des idées présentées.  Chacune sera présentée en forme de vignette.  En voici la première.

Flexibilité

Si la Génération Y cherche le fun, elle a aussi conscience qu’elle doit anticiper les hauts et bas de la vie, et ne pas rester attachée à un employeur.  La flexibilité (vu pour certains comme un manque de loyauté) fait partie de l’évolution qu’elle anticipe plus que les générations précédentes. Elle a toujours entendu parler de « crise » et de récession ; elle a vu les parents ou proches perdre leur emploi après des années de loyaux services. Les jeunes parlent plus facilement d’être ouvert au marché du travail qui, comme tout marché et comme toute chose, évolue. La société ne protège pas les postes de travail ; elle essaie de protéger les individus. {A tweeter!}  En France, malgré des critiques, la société « sociale » est protectrice. La « crise » de ces dernières années avec les mesures d’austérité n’est pas celle de 1929, ne l’oublions pas ; ce serait indécent.

Interview avec David Lacombled, Strategies de Contenu chez Orange

Show Radio Minter Dialogue émission #73

Cet entretien est avec David Lacombled, Directeur délégué des stratégies de contenu du groupe Orange et Président du think-tank « la Villa numéris. »  En plus de son coté visionnaire, David est un homme d’une grande finesse. Je suis sûr que vous serez étonné d’entendre sur quoi il travaille chez Orange. C’est un projet d’avenir qui devra voir le jour fin 2013: un travail collaboratif sur la digitalisation du livre français.

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MDF70: Vincent Ducrey, co-fondateur du Hub Forum, lance l’édition 2012

Bonjour et Bienvenue au Show Radio Minter Dialogue émission #70

Le Hub Forum 2012

Lors de mon passage à l’Université d’Eté 2012 du Medef, j’ai retrouvé Vincent Ducrey, qui j’avais interviewé sur ce show radio il y a plus de deux ans. Vincent est co-fondateur avec Emmanuel Vivier du Hub Forum, qui passe maintenant à sa 3e édition. Dans cet entretien, Vincent nous parle des évolutions du Hub Forum depuis son démarrage et nous raconte qui sera parmi les 60 intervenants attendus pour la session 2012, sous le titre « Global Brands, Connected Consumers. »  Parmi les grandes stars, je cite: Alexandre Huot, en charge du Social Media des Olympiques 2012 ; Jean-Marie Dru, Chairman de TBWA ; Jacques-Antoine Granjon, PDG de Vente Privée : plus des marques telles que Red Bull, McDonalds, LEGO et Parrot.

Rendez-vous le 11-12 octobre au Pavillon Pierre Cardin.  Voir ici pour la liste complète des intervenants.  Et pour s’inscrire, cliquer ici.

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Entretien en live avec Remy Pflimlin, PDG de France Televisions

Remy Pflimlin, PDG France Televisions, The Myndset Digital Marketing

Rémy Pflimlin, PDG de France Télévisions

Je suis invité par l’équipe de France Télévisions de poser des questions au PDG de France Televisions, Rémy Pflimlin cet après-midi, après la conférence de presse de la rentrée. Ce n’est, donc, pas n’importe quel entretien!  Pour ma part, je suis curieux de savoir son point de vue sur l’importance et la place des réseaux sociaux dans la stratégie du Groupe.

Virtuel et international

C’est une interview « virtuelle et internationale » car elle a lieu dans un Google Hangout et comprend des personnes étalées partout le monde, dont Loic Lemeur (@loic) à SF, Damien Guinet (de Agence Heaven) au Canada, mon ami Noam Kostucki (@noamkos) à Londres et Eric Maillard (Ogilvy RP) à Paris. Voir la liste de tous les intervenants et lire plus ici.

Ainsi, dès 14h45, vous pouvez ainsi venir vous connecter sur Google + en rejoignant la page de France Télévisions, et lancer la vidéo YouTube qui s’affichera sur la page, en cliquant sur le bouton « play ».

Le livetweet et Les coulisses

Vous pourrez suivre le livetweet ici #FTVconf12, notamment sur le compte @francetele.  Et pour « les coulisses, indiscrétions et chuchotements, ce sera le compte @francetvdirect. »

Après l’expérience, je ferai certainement un petit recap!  Vive l’innovation (dans la forme) !

Quelle est la valeur d’un fan Facebook ?

Suite à l’infographie sur la Valeur d’un Fan Facebook, j’ai réalisé cet entretien que je voulais partager sur le blog.  Il est tourné autour de 4 questions.

Quels sont les principaux leviers d’acquisitions sur les réseaux sociaux ?

Infographie FB-vignette-FR, Minter Dialogue Myndset Marketing DigitalSelon moi, il y a deux réponses possibles à la question d’acquisition de fans : avec investissement financier ou sans ; sachant que cette deuxième piste demande autant, voire plus d’investissement en termes de temps (capital humain). Dans le premier cas, avec les évolutions et développements de Facebook, les liens sponsorisés vont certainement avoir une bonne efficacité—plus particulièrement, pour les grandes marques qui peuvent se le permettre.  Dans le deuxième cas, il s’agit d’abord de poster avec un rythme et ligne éditoriale qui stimulent son audience, en phase avec les valeurs de la marque et les attentes de la communauté. Deuxièmement, il est approprié de chercher un mix média, où les investissements offline soient travaillés en harmonie avec les activités en ligne. Je penserais aussi à la recherche de partenaires synergiques pour optimiser les investissements, tout en rendant plus riche l’interaction. Par exemple, pour les coiffeurs, ils pourraient s’associer avec leurs fournisseurs.  Je note le cas d’un salon de coiffure qui a su gérer son compte Facebook de fans en s’associant avec le restaurant sushi voisin, la clientèle déjeunant au salon de 11 à 15h.  Ce salon a bénéficié d’une augmentation de son CA après une formation aux réseaux sociaux.

L’acquisition est-elle plus simple sur un réseaux type Facebook que sur Twitter par exemple ?

Le point en commun reste la facilité avec laquelle un abonné peut se désabonner soit d’un Thumbs up Twitter, The Myndset Marketing Digital et Medias Sociauxpage Facebook, soit du flux Twitter. Avec cette notion en tête, la recherche purement quantitative d’abonnés n’a pas autant de sens, surtout, une fois qu’un seuil minimal est éteint. La viralité et les fonctions de partage paraissent plus fortes sur Facebook que Twitter. En plus, on ne peut pas faire abstraction du fait que la population soit 5x plus grande sur Facebook en France, même si Twitter se rattrape (désormais à 5.5 million d’abonnés en France). Mais tout dépend de l’objectif. Il faut définir l’objectif, connaître sa cible et respecter les codes d’usage pour augmenter le nombre de suiveurs. Le coté « message court » et l’esprit d’actualité de Twitter sont parfaitement adapté à une certaine cible. Sur Twitter, il existe une habitude plus élevée de suivre des inconnus, en fonction de la qualité du flux. Sur Facebook, le gain de nouveaux fans vient par l’association des amis ou par acquisition. Au final, pour la plupart, Facebook reste le meilleur choix, même si le coût d’acquisition risque de coûter plus cher que sur Twitter (pour l’instant en tout cas).

Quels sont les critères qui définissent la valeur d’un fan ?

D’un point de vue simplement statistique, il est évident qu’un fan qui a beaucoup d’amis et qui interagit régulièrement avec vos posts a plus de valeur que quelqu’un qui est passif et muet. En revanche, la qualité influente du fan — qu’on peut tenter de mesurer, de façon non scientifique, à travers des services comme Klout ou Peer Index — va donner plus de résonance à ces interactions.  Plus les interactions d’un fan incitent ses amis à investiguer, à cliquer, à re-partager ou tout simplement à « aimer », plus c’est un fan de valeur.  En règle générale, je préférais avoir 500 fans qui interagissent activement que 5,000 fans passifs.

Est-ce que l’internaute a un véritable pouvoir sur la réputation d’une marque sur les réseaux sociaux et pourquoi ?

Tous fans ne sont pas égaux.  Ainsi, la puissance d’un commentaire d’un internaute dépend de trois choses : la qualité de son réseaux, la possibilité d’être repris par le mass média et la chance (le timing, la serendipité…).  Par le passé, l’internaute avait moins de concurrence pour se faire remarqué et de percer à travers le bruit en ligne.  Aujourd’hui, c’est beaucoup moins le cas, avec un recentrage sur des services et réseaux phares. Il y a une convergence autour des « grandes références » tel que Google, Facebook, Youtube, etc.

money hand cash dollars, The Myndset Marketing Digital et Strategie MarqueL’éthique : Pour des sujets qui touchent à l’éthique ou à des points sensibles pour la société – au-delà d’une plainte chez un voyageur (!) – il y a plus de chances que les réseaux sociaux se mobilisent.  Ceci est d’autant plus vrai lorsqu’il s’agit d’un sujet proche des femmes, grâce à la surreprésentation des celles-ci sur les réseaux sociaux et de leur tendance à partager plus librement que les hommes. Exemple : le revirement sur la décision de Komen sur Planned Parenthood (en anglais via PolicyMic.com).  Un autre sujet sensible : l’argent, le système bancaire et financier.  Ainsi, les actions des banques — ou de la politique — peuvent provoquer des réactions qui génèrent un buzz conséquent.  Exemple : lorsque Bank of America a voulu augmenter les frais (voir The Financial Brand – en anglais), les clients ont révolté.  Cependant, il y a bien d’autres exemples, dans d’autres domaines où le mouvement sur les réseaux a eu un impact réel (ex : les cas célèbres de Kryptonite, United broke my guitar…).  Non obstant, pour chaque cas avec un grand impact, il y a des milliers qui sont restés dans l’ombre.

Dois-j’y aller?

Ne pas prêter attention aux plaintes sur les réseaux serait un risque professionnel ces jours-ci.  Ne pas répondre à une plainte, devient ensuite, un choix à mesurer en fonction des probabilités.  Entre une vidéo qui dépasse les millions de vues et un tweet retweeté 1 fois, il y a un énorme spectre.  La volonté d’une marque de répondre à ses clients devient instantanément visible.  Là se joue la réputation. Dans le temps, je maintiens que l’investissement dans un service à la clientèle à l’écoute avec un équilibre entre le proactif et le réactif, dit « 2.0 », sera payant.  Le tout doit être fait avec un regard sur la culture et structure de l’organisation.

Qu’en pensez-vous ?  Vos réactions sont les bienvenues !

 

MDF65: MyTWatch, un service de veille et engagement avec un TWist

Bonjour et Bienvenue au Show Radio Minter Dialogue EMISSION #65.

Cette émission est avec un duo, Edith Nuss and Philippe Gablain, les deux fondateurs et respectivement le CEO et le CTO de MyTWatch. MyTwatch est une agence qui propose des services de veille, conseil, mesure et community management pour les entreprises. Avec tous les deux des longues carrières dans le e-marketing, la communication et le monde du web, ils ont développé une offre intéressante, et ils ont récemment été prime pour leur produit de veille. On y discute de comment les entreprises peuvent et doivent s’adapter aux nouvelles tendances et comment mieux mettre en place un dispositif de veille et de la gestion de la communauté.

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L’éthique, les echecs et les erreurs du management – Les cas des « rogue » traders

Sauf si vous habitez dans une grotte, vous aurez entendu dire que JP Morgan a pris un coup (relativement mineur pour eux, dit-on) à son bilan ainsi qu’à sa réputation « équilibrée » dans une scandale de trading. Comme plusieurs articles l’ont souligné (je note en particulier celui du Daily Beast – en anglais), récemment il y a eu trois cas célèbres de « voyous », qui ont entraîné des pertes conséquentes à trois banques différentes ; et ces trois avaient en commun que les « rogue » (errants) traders été tous des ressortissants français.

Les 3 « rogues » protagonistes

JP Morgan logo

JP More or Less Gone?

Tout d’abord, il y avait le fameux Jérôme Kerviel, qui a généré une perte de 5 milliards d’euros à la Société Générale au début de 2008. Puis, en 2010, il y avait « Fabuleux » Fabrice Tourre, dont l’employeur, Goldman Sachs, a dû payer un demi-milliard de dollars en amendes liées à sa « naïveté » et la création de l’obligation Abacus. Et puis, il y a plus de deux semaines, nous avons eu le 3e mousquetaire, Bruno Iksil, impliqué dans une perte de 3 milliards de dollars à JP Morgan Chase. Connu sous le nom « La Baleine », il semble avoir été échoué.

La suite et la poursuite — qui prend le blâme?

Pour Kerviel, il a été condamné à cinq ans de prison et à payer € 4,9 milliards (6,7 milliards de dollars) en restitution à la banque. Bonne chance à les obtenir, ces sous-là.

target arrow bulls eye, The Myndset Digital marketing leadershipSelon Wikipedia, le résultat du scandale Tourre était que « Goldman a accepté de verser 550 millions de dollars – 300 millions de dollars pour le gouvernement des États-Unis et 250 millions de dollars aux investisseurs – dans un règlement avec la SEC. La société a également accepté de modifier certaines de ses pratiques d’affaires concernant les placements hypothécaires, y compris la façon dont il conçoit du matériel marketing …. En revanche, Goldman n’a pas admis des actes répréhensibles. L’avenir de Tourre, de son côté, est encore inconnu.

Alors que l’avenir réservé à la baleine de Londres est loin d’être connu, il y a déjà eu une retombée importante parmi les cadres supérieurs de JP Morgan. Contrairement à la situation chez Société Générale, la direction de JP Morgan a clairement été tenue responsable.

La responsabilité

Je cite, alors mon cher frère qui dans une phrase succincte l’a résumé ainsi :

« La différence est que avec la banque française, c’est le pauvre petit commerçant qui prend le coup et pour la banque américaine, c’est le management qui prend ses responsabilités. » Je pense que l’affaire Goldman montre que tout n’est pas aussi noir et blanc (ni bleu, blanc et rouge). Mais, le fait est que la haute direction doit être, par définition, tenue responsable ; même si l’un de ses employés se sont rendus coupables.

Les profils partagés

L’intrigue de ces 3 scandales est la connexion française, liée à un système éducatif fort en France qui met l’accent sur les mathématiques et qui permet aux étudiants français d’inventer des solutions et produits aussi complexes que les dérivés.

Le deuxième thème en commun, comme dans le cas de la Tourre et Iksil, il y a une attraction évidente par ces jeunes hommes français aux jeux et au risque ; ils ont tous une grande tolérance au risque – une caractéristique pas forcément attribué aux Français. On pourrait aussi penser qu’ils ont un sens d’éthique partagé également.

Un troisième point est l’âge de ces hommes. Kerviel et Tourre avaient tous les deux exactement 31 ans au moment de l ‘ «infraction». Et, si vous consultez l’autre grand scandale récent de trading chez UBS (ne comportant pas sur un Français cette fois-ci), par Kweku Adoboli, un ghanéen basé à Londres, qui était attrapé pour une perte £ 1,3 milliard, lui aussi, avait 31 ans. Iksil a apparemment la trentaine.

Des Conclusions et questionnements

Quelques conclusions et questionnements (et je serai heureux d’entendre les vôtres !):

  • Je conçois que nous avons besoin de plus de mathématiques dans le curriculum scolaire anglais et américain.
  • Ne doit le management toujours être tenu responsable, en particulier lorsque des sommes énormes sont impliqués ?
  • Comment modérer cette notion d’invincibilité qui semble rayonner chez ces jeunes hommes, sans pour autant enlever le flair, la créativité et le sens d’entrepreneur ?
  • S’agit-il d’un manque d’éthique personnel, un manque de régulation ou tout simplement les règles du jeu du trading ?

Post scriptum: Bruno Iksil a su très bien maîtriser sa présence en ligne!  Aucune photographie de lui existe et on ne connaît toujours pas son âge.  « Pour vivre heureux, vivons cachés » ?  En tout cas, visiblement ce n’est pas parce qu’on n’a pas de présence en ligne qu’on ne sera pas trouvé !

MDF #39: Fadhila Brahimi, référence sur le Personal Branding en France

Qu’il est important de gérer sa reputation en ligne…

Je connais Fadhila Brahimi depuis bientôt deux ans.  Fadhila est une femme très engagée sur le web ; elle a une grande présence en ligne, et aussi sur scène en tant que conférencière, ayant à son effectif deux discours au prestigieux TEDx (à Algers et Bordeaux).  Elle est auteur et contributrice de plusieurs sites et va très prochainement sortir un livre en français sur le Personal Branding (adaptation du livre en anglais par Dan Schawbel).  Dans cette conversation qui suit, nous avons discuté du personal branding et l’enjeu que ça représente ici en France.  J’espère qu’elle vous plaira.

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MDF35: Eric Blot, PDG Awakit Groupe

Awakit Groupe – Agence de Communication Rich Media

Eric Blot est fondateur et PDG d’Awakit Groupe, une agence de communication et évènements « rich media. » Dans cet entretien, nous avons parlé des enjeux pour les entreprises dans le digital, les efforts à faire pour y réussir et l’état du marché français (les demandes et les besoins les plus importants).

En plus, est-ce qu‘Empire Avenue, le nouvel « angel » du social mediasphère, sera un site d’avenir ou pas?

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